RT : Vous êtes arrivé à Kazan pour inaugurer le Parc de la Coupe des confédérations de la FIFA. Vous découvrez la ville, alors que les préparatifs de la compétition battent leur plein. Quelles sont vos impressions ?
Ronaldinho (R.) : Je suis arrivé hier et je n'ai pas encore eu le temps de voir beaucoup de choses. Mais j'ai remarqué qu'il y avait beaucoup d'agitation dans les rues. Aujourd'hui, j'ai participé aux événements dans le stade et je pense qu'il est dans un état excellent et prêt à accueillir la compétition.
RT : Que pensez-vous du niveau du football russe ?
R. : Il y a de très bons joueurs. J'ai appris que l'équipe russe était très jeune, il n'y a pas de joueurs connus, mais on m'a dit que cette équipe tiendrait le coup.
RT : Il a été annoncé que 48 équipes participeraient à la phase finale de la Coupe du monde 2026. A titre de comparaison, 32 équipes joueront au Mondial russe l'été prochain. Les fans de football ne paraissent pas excessivement heureux d'une telle augmentation du nombre de participants. Que pensez-vous d'une telle perspective ?
R. : Cela va compliquer les choses. Je pense que nous sommes tous habitués à un autre format. Je ne comprends pas tout à fait pourquoi [il faut le changer]. Je pense que personne ne sait encore comment tout cela va se dérouler. C'est difficile de dire quelque chose à ce sujet, parce que nous n'en avons jamais fait l'expérience.
RT : Quand vous aviez 17 ans, vous avez participé pour la première fois à la Coupe du monde junior et avez obtenu votre premier Soulier d'or. C'est de cette façon que vous vous êtes fait remarquer par les plus grands clubs européens, en signant finalement au Paris Saint-Germain. Que pouvez-vous nous dire de votre expérience dans le football européen ?
R. : C'était parfait. Paris est une ville merveilleuse, magnifique. J'adore cette ville. J'ai eu la chance de commencer dans ce club, on avait une grande équipe. J'ai joué avec des joueurs exceptionnels comme Jay-Jay Okocha, Nicolas Anelka et bien d'autres. J'y ai beaucoup appris , j'ai eu la chance de commencer mon parcours là-bas. Cela a été un démarrage parfait.
RT : En 2003, vous avez signé au FC Barcelone, entraîné à l'époque par Frank Rijkaard. Vous avez toujours dit que c'était un entraîneur qui vous donnait un maximum de libertés. Quels sont vos souvenirs de cette époque et du technicien néerlandais ?
R. : Pour moi il était le meilleur entraîneur et un grand ami. C'est une personne merveilleuse et un grand professionnel. Et bien sûr, il n'y a rien de mieux qu'un coach qui vous permet de faire ce que vous aimez. Il m'a donné la liberté dont j'avais besoin, et il l'a donnée non seulement à moi, mais aussi à mes coéquipiers. Cela a été une grande étape dans ma vie.
RT : Que faut-il pour gagner la Coupe des confédérations de cet été ? Est-il possible qu'une équipe comme l'Australie ou le Cameroun remporte le trophée ?
R. : Oui, je pense que tout le monde va venir à la compétition avec une grande motivation, car ceux qui montrent de bons résultats à la Coupe des confédérations sont pratiquement sûrs d'avoir leur place à la Coupe du monde. C'est donc un tournoi très important. Il me semble que c'est la raison pour laquelle les joueurs viennent à cette compétition avec une telle motivation : ils savent que c'est la dernière ligne droite avant le Mondial. Tout joueur rêve de participer à la Coupe du monde, donc tout le monde essaie de se montrer sous son meilleur jour.
Ronaldinho (R.) : Je suis arrivé hier et je n'ai pas encore eu le temps de voir beaucoup de choses. Mais j'ai remarqué qu'il y avait beaucoup d'agitation dans les rues. Aujourd'hui, j'ai participé aux événements dans le stade et je pense qu'il est dans un état excellent et prêt à accueillir la compétition.
RT : Que pensez-vous du niveau du football russe ?
R. : Il y a de très bons joueurs. J'ai appris que l'équipe russe était très jeune, il n'y a pas de joueurs connus, mais on m'a dit que cette équipe tiendrait le coup.
RT : Il a été annoncé que 48 équipes participeraient à la phase finale de la Coupe du monde 2026. A titre de comparaison, 32 équipes joueront au Mondial russe l'été prochain. Les fans de football ne paraissent pas excessivement heureux d'une telle augmentation du nombre de participants. Que pensez-vous d'une telle perspective ?
R. : Cela va compliquer les choses. Je pense que nous sommes tous habitués à un autre format. Je ne comprends pas tout à fait pourquoi [il faut le changer]. Je pense que personne ne sait encore comment tout cela va se dérouler. C'est difficile de dire quelque chose à ce sujet, parce que nous n'en avons jamais fait l'expérience.
RT : Quand vous aviez 17 ans, vous avez participé pour la première fois à la Coupe du monde junior et avez obtenu votre premier Soulier d'or. C'est de cette façon que vous vous êtes fait remarquer par les plus grands clubs européens, en signant finalement au Paris Saint-Germain. Que pouvez-vous nous dire de votre expérience dans le football européen ?
R. : C'était parfait. Paris est une ville merveilleuse, magnifique. J'adore cette ville. J'ai eu la chance de commencer dans ce club, on avait une grande équipe. J'ai joué avec des joueurs exceptionnels comme Jay-Jay Okocha, Nicolas Anelka et bien d'autres. J'y ai beaucoup appris , j'ai eu la chance de commencer mon parcours là-bas. Cela a été un démarrage parfait.
RT : En 2003, vous avez signé au FC Barcelone, entraîné à l'époque par Frank Rijkaard. Vous avez toujours dit que c'était un entraîneur qui vous donnait un maximum de libertés. Quels sont vos souvenirs de cette époque et du technicien néerlandais ?
R. : Pour moi il était le meilleur entraîneur et un grand ami. C'est une personne merveilleuse et un grand professionnel. Et bien sûr, il n'y a rien de mieux qu'un coach qui vous permet de faire ce que vous aimez. Il m'a donné la liberté dont j'avais besoin, et il l'a donnée non seulement à moi, mais aussi à mes coéquipiers. Cela a été une grande étape dans ma vie.
RT : Que faut-il pour gagner la Coupe des confédérations de cet été ? Est-il possible qu'une équipe comme l'Australie ou le Cameroun remporte le trophée ?
R. : Oui, je pense que tout le monde va venir à la compétition avec une grande motivation, car ceux qui montrent de bons résultats à la Coupe des confédérations sont pratiquement sûrs d'avoir leur place à la Coupe du monde. C'est donc un tournoi très important. Il me semble que c'est la raison pour laquelle les joueurs viennent à cette compétition avec une telle motivation : ils savent que c'est la dernière ligne droite avant le Mondial. Tout joueur rêve de participer à la Coupe du monde, donc tout le monde essaie de se montrer sous son meilleur jour.
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